Philippe Welti
Lieu préféré
J’aime les gens et j’aime les histoires. Au “Sphères”, dans le quartier industriel de Zurich, qui est à la fois un bar, une librairie et une scène, je trouve les deux. Les faits seuls ne suffisent évidemment pas. Si une histoire me parle, elle doit aussi me toucher émotionnellement. Elle reste ainsi dans ma tête. C’est un sentiment profondément humain. Depuis l’âge de pierre, nous transmettons nos expériences et des informations importantes par le biais de récits. Par exemple : “Comment savoir si je vais bien ? Où trouver des myrtilles (je les adore) ? Ou bien, comment faire du feu ? Ces histoires ont assuré la survie de mes ancêtres et c’est grâce à eux que je suis ici.
En tant qu’immigré numérique, je m’informe désormais presque exclusivement online. Mais “Sphères” est au carrefour de mon monde analogique. Là-bas, aucun algorithme ne me suggère des produits à acheter ou des restaurants à essayer. En fouillant dans la librairie, mon esprit est en alerte et je tombe sur souvent sur ce que je ne cherchais pas initialement, par hasard. L’établissement est – intellectuellement, socialement et culinairement – ma source d’inspiration.
Raconter des histoires, j’en ai fait mon métier. Une profession ? Plutôt une vocation. L’ambiance de “Sphères” stimule mon intellect. Si je n’ai pas l’idée de départ d’une histoire, c’est ici qu’on peut me trouver.
Lieu préféré
J’aime les gens et j’aime les histoires. Au “Sphères”, dans le quartier industriel de Zurich, qui est à la fois un bar, une librairie et une scène, je trouve les deux. Les faits seuls ne suffisent évidemment pas. Si une histoire me parle, elle doit aussi me toucher émotionnellement. Elle reste ainsi dans ma tête. C’est un sentiment profondément humain. Depuis l’âge de pierre, nous transmettons nos expériences et des informations importantes par le biais de récits. Par exemple : “Comment savoir si je vais bien ? Où trouver des myrtilles (je les adore) ? Ou bien, comment faire du feu ? Ces histoires ont assuré la survie de mes ancêtres et c’est grâce à eux que je suis ici.
En tant qu’immigré numérique, je m’informe désormais presque exclusivement online. Mais “Sphères” est au carrefour de mon monde analogique. Là-bas, aucun algorithme ne me suggère des produits à acheter ou des restaurants à essayer. En fouillant dans la librairie, mon esprit est en alerte et je tombe sur souvent sur ce que je ne cherchais pas initialement, par hasard. L’établissement est – intellectuellement, socialement et culinairement – ma source d’inspiration.
Raconter des histoires, j’en ai fait mon métier. Une profession ? Plutôt une vocation. L’ambiance de “Sphères” stimule mon intellect. Si je n’ai pas l’idée de départ d’une histoire, c’est ici qu’on peut me trouver.
Parcours professionnel
Chez open up, je m’occupe de mandats dans les domaines des services financiers, de l’informatique, des assurances maladie, de l’industrie, du développement immobilier, de la santé et des associations. Mes domaines de prédilection en matière de communication sont la stratégie et la création de contenus, les relations avec les médias, la communication d’entreprise, la communication marketing et les affaires publiques.
Avant de rejoindre open up, j’ai travaillé dans des agences de relations publiques suisses de renom, où j’ai développé des stratégies de communication pour des entreprises et des organisations nationales et internationales, puis piloté leur mise en œuvre. Grâce à mon expérience dans le campaigning, je suis au fait des rouages économiques, politiques et sociaux du pays. Dans ma vie précédente vie, j’ai été géographe/géologue, puis journaliste pour des médias nationaux (en ligne, à la télévision et dans la presse écrite) pendant plus de dix ans.
#Philippe Welti
philippe.welti@open-up.ch
+41 44 295 90 72
#storytelling #journalismus #leseratte #books #digitalimmigrant #portugal
